15 décembre 2004
Evidemment, il suffit que j'émette l'idée tordue de défendre les éditoriaux du Figaro pour qu'Yves Thréard nous sorte de matin un texte tellement gavé de bons sentiments républicains qu'il en devient indéfendable (pas au sens où ce qui est dit est déraisonnable ou absurde, mais au sens où le défendre a un intérêt quasi-nul, car très peu de gens raisonnables auraient envie de l'attaquer). C'est la poisse.
Comme le temps me manque aussi pour conclure la séquence RTT (et tenter de répondre aux compléments et objections d'Alexandre Delaigue), je me permets humblement de renvoyer le lecteur en manque d'analyses éclairées vers mes petits camarades. Versac, par exemple, qui commente la demi-décision du jour concernant l'aménagement du quartier des Halles à Paris. Ou Samuel (de TheSamProject), qui s'interroge sur l'état des médias en France en général, et sur son avenir de journaleux en particulier, après avoir lu un fameux et néanmoins remarquable ouvrage sur une célèbre école de journalisme.
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